Notre A.S.B.L « Rassemblement des Elite pour la Justice au Congo » R.E.J.C en sigle aidera à la lutte contre les inégalités sociales, répartition inégale des richesses et des chances au sein de la société congolaise surtout pour les élites non héritières, les veuves, les orphelins, les opprimés, etc.
Bien que l'égalité sociale soit une aspiration politique majeure depuis l'aube de la civilisation, les études sociologiques ont répertorié des inégalités flagrantes au sein des sociétés modernes, plus généralement, sur le plan de la qualité de vie, c’est ainsi que nous avons comme travail La recherche du bien être de la jeunesse élite non héritière, de l’orphelin, de l’opprimé, de la veuve et autres désœuvrés de la RDC.
L'inégalité sociale existe aussi bien entre les sexes qu'entre les classes sociales surtout en Afrique comme en RDC. L’Unesco, en témoigne en publiant tous les ans un catalogue de mesures prises en faveur du développement. Les mesures visant à améliorer la qualité de la vie ne sont pas nécessairement conditionnées par l'évolution du produit national brut (PNB) par habitant. Les femmes et les jeunes filles sont beaucoup plus abandonnées à leur sort, nous allons militer pour la valorisation de cette femme et de cette jeune fille au sein de la société congolaise afin qu’elle s’engage dans le développement de son pays.
Les écarts qui existent entre les revenus des différentes catégories sociales permettent de mesurer les inégalités qui caractérisent les sociétés. Car si par exemple les États-providence ont mené une politique de redistribution, celle-ci ne couvre généralement que 20 ? du revenu total, et la distribution nette demeure donc sensiblement inégale. Les 10 ? de personnes les mieux payées reçoivent annuellement environ 40 ? des revenus, et les 10 ? de personnes les moins bien payées en reçoivent moins de 10?.
Partant de ces écarts sociales en RDC il n y a pas une politique sociale de prise en charge des veuves, des orphelins, des désœuvrés et de l’élite non héritière, c’est à cela que nous nous engageons d’éveiller la conscience de ses délaissés dans la justice sociale et pour s’organiser dans leur prise en charge personnelle car notre avenir ne dépend que de nos pensées et actions présentes.
Nous appelons ici les gouvernements, toutes les organisations internationales à caractère sociale et d’individu de bonne foi de nous accompagner financièrement et moralement dans la création d’emploi (prise en charge personnelle de ses abandonnés) : l’octroie de micro-crédit, encourager les activités champêtres des ses femmes veuves, la formation des désœuvrés dans la couture, aider la jeunesse élite non héritière dans l’éducation à la lutte contre le VIH/SIDA et autres MST, l’encadré dans les activités culturelles au seins des universités et instituts supérieurs car la capacité à influencer le comportement d’autrui dépend de son engagement dans une situation. Si on veut obtenir quelque chose d’un individu, il est plus efficace de lui demander en premier lieu une chose moins importante ou coûteuse, par exemple un renseignement.
La première demande engage l’individu dans l’interaction et améliore les chances qu’il accepte la requête suivante, comme le savent les démarcheurs à domicile.